FOULOSOPHE PIRE QUE
JEAN CLAUDE VANDAMNE !
Ou
Comment devenir célèbre sans avoir le moindre talent
(Lisait tout vous allez comprendre)
FAUT IL LAISSER LA LIBERTE
D’EXPRESSION A LA HAINE.
VOICI LE VRAI VISAGE DE LA LIBERTE
LE VRAI VISAGE DE ROBERT REDEKER
Source journal le monde :(Il a triplée ! sa première année de philo ! et à passer son bac à 20 ans candidat libre parce qu’aucun établissement ne voulait de lui en terminale aprés je cite les propos du journal le monde "une scolarité chaotique", l’homme a toujours était a la marge
il est également juger décalé par des confrères et son ami écrivain François George le confirme.
Né au milieu des années 1950 dans une ferme de l’Ariège. Ses parents travaillaient au service de paysans ”. Adolescent, il découvrira qu’ils avaient quitté l’Allemagne au gré des péripéties de l’Histoire. Son père avait fait partie de l’Afrika Korps divisions allemandes de panzers dans le désert de Libye et d'Égypte occidentale, puis en Tunisie commander par Hitler,
et soutenait les troupes de Mussolini, apparemment il y a des restes anti-orientalises et rasciste.)
observez plutôt: le pére de Robert Redeker est un ancien militaire qui portait
les armes pour Hitler "Le tueur de juif" le voilà le vrai coupable "Hitler" et non Mohamet.il faut vraiment avoir un complexe intellectuel pour ne pas voir la différence entre " Le Troisiéme Reich" et le "Coran".
Son pére travaillait pour le régime nazi et à donc fait toute sorte de chose pour Hitler alors certainement Robert Redeker est
devenu judéophobique, ultra gauchiste,anti-catholique,islamophobique...
(d'un extréme à un autre faur comprendre..)
Lisait plutôt (ci-joint plus bas) la « vision » d’un philosophe qui perd souvent le fil, cela Cache très certainement un manque affectif, un besoin de reconnaissance,le symptôme du professeur mal aimé …il faut dire aussi que ce n’est pas non plus un « Nietsch », « une référence intellectuel international ou local et même rural… », de plus il c’est fait recaler en 2004 au poste de directeur de programmes au Collège international de philosophie, créé en 1983 à l'initiative de Jacques Derrida et sous l'égide du ministère de la Recherche.
Bien sur Mr le super intelloman Robert Redecker à contester la décision de rejet de sa candidature : c’est le comportement d’un homme normal quoi ??
Source le Monde: Son ancien chef d’établissement Charles Giminez du lycée Pierre-Paul-Riquet dit de Robert Redeker : « les autres le tenais à l’écart … et parce que ce qu’il exprimait n’est pas ce qu’on a coutume d’entendre dans les salles de profs. »
Extrait article: Le point 21/06/97.
C'est une telle rébellion qui a conduit cette année un examinateur de philosophie, Robert Redeker, à être écarté des jurys. Avec un humour désabusé, il avait osé dénoncer l'an dernier dans une tribune libre, publiée par Le Monde, la véritable caricature que peut devenir un oral du bac : « Ainsi ai-je fait obtenir le bac littéraire, avoue-t-il, à une candidate au livret scolaire calamiteux, aux résultats désastreux, à l'absentéisme chronique, mais dont j'appris qu'elle attendait un enfant d'un ami envoyé en prison pour quelques mois, qu'elle avait été expulsée de son appartement début avril...
article de redeker paru dans l’arche :
les mal-aimés de la République Une parodie d’engagement
Il est singulier de voir à quel point à travers l’humanitaire, le propalestinisme, le projeunisme de banlieue, la victimophilie universalisée, apparaissent les contours d’un christianisme sans Église devenu hégémonique... par Robert Redeker
Caroline Brancher
...Dans plusieurs articles, Redeker est systématiquement accusé de « racisme pur et simple »[1], de « haine aveugle »[2], d’être « plus sioniste que sioniste »[3]. Redeker aurait proféré des « injures racistes »[4] et aurait fait preuve d’une « violente islamophobie »[5] Les tribunes de Redeker seraient un « concentré de haine anti-musulman »[6] et sèmeraient la « haine entre les citoyens »[7] Dans son texte paru sur Le Grand Soir Info, Leïla Salem, à défaut de démonter point par point les arguments de Robert Redeker comme on l’attendrait de n’importe quel débat, s’adonne à des attaques personnelles contre le philosophe, attaques basses et abjectes. Le titre de son article « le philosophe qui voulait péter plus haut que son c.. »[8] laissait déjà présager une Leïla Salem décidément tombée plus bas que terre. Pour elle, Redeker serait donc « médiocre »[9] , « imbu de sa personne »[10], « arrogant »[11], « égocentrique »[12] .. Leïla Salem précise que Redeker aurait « terrorisé »[13] les élèves du lycée où il enseigne (rien que ça) Ce serait un « intégriste de la vedettariat et de la publicité »[14] : à en croire Leïla Salem, Redeker, en mal de célébrité,...Plutôt pas mal pour quelqu’un qui ne sait même pas faire la différence entre sionisme, critique de l’islam, dénonciation de l’intégrisme et appel à la haine envers les musulmans … Enfin, c’est toujours amusant de voir quelqu’un dénoncer les amalgames quand cette même personne n’est elle même pas à un amalgame près. ...Aounit dira également que Redeker est « un philosophe amateur de polémiques dont il croyait sans doute sortir à jamais indemne »[33] comme si il était évident que la publication d’un tel article ne pouvait laisser indemne … « la critique de toute philosophie ou religion – ce qui inclut l’islam - est légitime »[34] alors que lui même milite pour instaurer un délit de blasphème en France.Olivier Roy, directeur de recherche au CNRS, déclare dans Libération : « On voit au contraire se multiplier des attaques polémiques contre l’islam souvent ignorantes et qui frisent parfois l’imbécillité... ...sur l’islam, devrait également admettre que si l’islam subit des attaques polémiques, les premiers responsables sont ceux qui commettent chaque jour des atrocités en son nom.... Le propre du débat aurait été de laisser Robert Redeker s’expliquer avant toute condamnation en racisme...
extrait de: Quand le sport défait les peuples
PAR ROBERT REDEKER [28 mai 2002] Le Figaro.
...L'engagement supporteur est une parodie, vide de contenu et acéphale, de ce qu'a pu être l'engagement politique. Il est la forme évidée de l'engagement, il est l'engagement propre à notre ère du vide.
Ces manifestations apparemment politiques qui se développent dans les stades – en particulier celles qui ont conduit aux divers incidents du Stade de France, mais aussi les manifestions racistes et antisémites et les saluts nazis qui émaillent les matchs de football – ne constituent pas une résurrection de la politique. Elles ne font que mimer hideusement le spectacle d'une politique générale elle-même réduite, depuis trois décennies, au spectacle…
Le public du Tour de France exprime une sorte d'union nationale, de caractère républicain, sans fanatisme aucun. Sa nature est intégrative : en lui se mêlent aux gens autochtones beaucoup de touristes, anglais, belges, hollandais, allemands, se rassemblant pour applaudir aux exploits des « forçats de la route »…
Sous les peuples grouillent les ethnies, les communautés, la masse, les masses, que le sport aide à exalter – ainsi surgissent « les meutes sportives » étudiées par la sociologie de Jean-Marie Brohm. Ce sont ces associations humaines non populaires (autrement dit : non politiques) qui fournissent les gros bataillons de supporters, particulièrement dans le football…
Il ne faut pas s'étonner, dès lors, que dans les stades se donnent à voir aussi bien le nihilisme des hommes contemporains que la violence déchaînée des produits de la décomposition simultanée de la politique et des peuples, la plèbe et les « meutes sportives ». ( Source Le Figaro)
commentaire: un article lourd, c'est ce genre de lecture qui fait fuire les jeunes vers le sport ou même la playstation, dans cet article Robert Redeker répéte 27 fois politique, 13 fois peuples, 13 fois supporters !?? et j'en passe d' autres...et il apprend a des éléves à s'exprimer alors que lui y arrive avec lourdeur c'est pas du Socrate c'est du Matraque Matraque Matraque Matraque multiplié par douze.
Un ancien élève du lycée d’Auch dit de Robert Redeker : « Avec lui tout est fondé sur le rejet ou l’admiration. » il se présentait, selon son ancien élève, “comme un enfant trouvé de la République parce que c’est elle qui l’a émancipé”.
(Maxime Vivas) ...J'ai déjeuné avec lui et un de ses potes qui avait eu des responsabilités nationales dans un parti d'extrême gauche. Ils m'ont entrepris, à deux contre un, sur Israël. Ils avaient l'air d'être imbattables sur le sujet et je ne me souviens pas avoir jamais trouvé le temps aussi long devant une table abondante où je déjeunais gratis... Quelques mois après, l'Education nationale, qui désapprouvait sa prolixité journalistique nonobstant... , décida de le muter d'office dans un autre lycée.
une des élèves de Robert Redeker : "C'est normal qu'il y ait des gens qui se révoltent... ( Source Charlie Hebdo)
A-t-il pensée aux élèves ?? Afin de tenir la communauté scolaire (et les élèves en particulier) à l’écart de cette sinistre affaire. Cet article relève du pur et simple racisme, C'est d'abord à ses propres limites que vient de se heurter M. Redeker, "preuve s'il en était besoin que toute forme de violence en appelle hélas d'autres en retour. "N'est-il pas possible, surtout venant de la part d'un professeur de l'éducation nationale, (d'exiger) un minimum de science, connaissance et de modération ? ". "J'émet les plus grandes réserves quant à l'origine exacte de ces menaces"."Il est tout de même un peu facile d'attribuer aussitôt à des musulmans de telles menaces quelques mois avant les élections présidentielles de 2007. L'heure est aussi aux manipulations". Il faut que "les auteurs soient identifiés et sanctionnés comme le permettent les lois de la République". d'ailleurs (Sources provenant de M6...) Un homme de 25 ans, suspecté être l'auteur des menaces de mort, a été arrêté mi-octobre à Orléans. Après une journée de garde à vue, il a reconnu les faits. Il a cependant été remis en liberté et placé sous contrôle judiciaire, car selon les enquêteurs, il n'aurait aucune affiliation à un groupe terroriste et aurait agi seul.
Redeker cible de menaces internationales ? On peut ainsi sérieusement en douter.
L'idée de fatwa est en fait le produit d'un amalgame entre des mails de menaces anonymes et une condamnation publique du texte de Robert Redeker par le Cheikh Youssef Al Quradami. C'est Caroline Fourest**( une proche de Robert Redeker) qui, parmi les premières, a lancé la campagne de désinformation, en prétendant que le Cheikh Al Quradami avait prononcé une « fatwa mondiale » désignant Robert Redeker à la « vindicte » de millions de musulmans (Site Prochoix.org, 25/09/2006). Affirmation reprise par Michel Onfray dans l'appel qu'il a lancé en faveur d'un « soutien inconditionnel » à Robert Redeker : « Le cheikh islamiste Youssef al-Qaradawi a livré Robert Redeker à la vindicte des fous de Dieu. » À trois reprises dans cet appel, Robert Redeker est décrit comme la victime d'une « fatwa ». La réalité est tout autre : Youssef Al-Qardaoui a en réalité parlé moins d'une minute de l'affaire, il n'a même pas cité le nom de Robert Redeker, il s'est contenté d'appeler les téléspectateurs à « protester d'une manière sage contre les propos du pape Benoît XVI et l'auteur de l'article du Figaro » ; il a également appelé à « ne pas donner l'image de musulmans violents dont les médias occidentaux sont friands ». Les mots sont importants.
Dans un article du Parisien du 3 octobre 2006, Soheib Bencheikh, ancien mufti de Marseille et directeur de l'Institut des sciences islamiques, écrit : « Concernant Robert Redeker, je dis : Laissez-le parler ! Ceux qui ne sont pas d'accord avec lui n'ont qu'à lui répondre par écrit, en argumentant. » Il se prononce aussi pour une libre critique de l'islam : « Ne pas critiquer l'islam est une forme de ségrégation. Or, il faut le dire : Mahomed est un humain. Il est faillible et son message est interprétable. »
En novembre 2001, déjà dans Le Figaro, il essentialisait déjà « l’Islam », présentait cette « essence » comme fondamentalement mauvaise (« l’idéologie la plus rétrograde », « une régression barbarisante ») et soulignait déjà aussi le lien entre phobie de l’Islam et phobie des musulmans, en affirmant que « l’Islam installe au plus intime de chaque musulman la paralysie de l’intelligence ».
**( source wikipedia) Robert Redeker était un collaborateur de Caroline Fourest pour Prochoix. Et qu’avec ProChoix il a mené des commandos judiciaires contre les catholiques.
Le Devoir (quotidien de Montréal)
Robitaille Antoine s’entretient avec Robert Redeker.
Le Devoir: Qu'y a-t-il de nouveau dans le rapport de la société actuelle au sport?
Robert Redeker : C'est devenu une sorte de pouvoir spirituel. Nous sommes à une époque de véritable affaiblissement normatif des institutions: la famille, l'école, l'État vont très mal et ne parviennent plus à fabriquer des individus, des "sujets" et même à susciter une véritable unité sociale. Du coup, le sport a pris le relais. Il se charge de mouler et de "fabriquer" les hommes et les subjectivités.
Le Devoir: Ça me semble un peu fort. Donnez-moi un exemple concret.
R. R.: Il n'y a qu'à regarder les supporters, une figure qui du reste remplace et se substitue peu à peu à celle du citoyen. Ils reçoivent et intègrent planétairement des valeurs mercantilo-compétitives qui sont une injonction permanente à la fois à la compétition, à la lutte de chacun contre chacun, à la performance, mais aussi à la consommation la plus débridée possible, puisqu'un réseau de marques commerciales enserre le spectacle du football, par exemple.Le Devoir: Mis à part l'aspect commercial dont vous parlez, quelle différence y a-t-il, par exemple, avec les Olympiques de l'Antiquité?R. R.: C'était un autre monde. Dans l'Antiquité, l'athlète était un spécimen de l'espèce qui s'approchait d'une conception de la perfection. Aujourd'hui, le sportif est plutôt un individu qui transgresse les limites du genre humain. Il va toujours plus haut, plus vite, plus fort. Dans ce contexte, le dopage est essentiel afin que la transgression continue infiniment. On peut donc prévoir que les types de dopage seront de plus en plus terrifiants dans l'avenir. Nous verrons sans doute, d'ici 20 à 50 ans, l'apparition d'HGM, des "humains génétiquement modifiés".
Le Devoir: Vous prétendez que la place centrale prise par le sport le protège de la critique. Ce serait "l'impensé autant que l'incritiqué des temps contemporains". Pourtant, il me semble que le sport est souvent critiqué: nouvel "opium du peuple", compétitions de mutants, etc. La critique du sport est assez présente, non?
R. R.: Au moment de la victoire de la France à la Coupe du monde, on a déclaré partout que l'équipe française réalisait le modèle républicain de fusion d'individus d'origines ethniques très différentes. À partir de ce moment, critiquer le football et le sport en général a été très mal vu. Même les milieux intellectuels se sont mis de la partie.
Le Devoir: Ce fut le cas du sociologue Edgar Morin, qui célébrait en 1998 la France dont l'équipe victorieuse montre qu'elle "a pu incorporer le beur-blanc-black dans le bleu-blanc-rouge".
R. R.: Voilà. Et Morin n'a pas été le seul, loin de là! On avait le sentiment d'une sorte de parodie de totalitarisme. En 2002, pour notre plus grand bonheur, la France est éliminée de la Coupe du monde! Heureusement puisque, depuis les premiers matchs, le climat était totalitaire.
Le Devoir: Et vous? Vous ne vous gardez pas en forme grâce au vélo?
R. R.: Oui, bien sûr, mais on est là dans la promenade, dans l'exercice physique lié à la vitalité, au fait de vivre. Ce n'est pas la même chose que ce produit spectaculaire et idéologique qu'on appelle aujourd'hui "le sport". Produit diffusé sur toute la planète qui a partout des effets très observables d'uniformisation des corps et des esprits.
un petit extrait de la possibilité de la Révolution ?
Par Robert Redeker.
A l’inverse, le culturel est ce qui annule cette distinction, accueillant en son sein tout ce qu’il rencontre ; c’est cette dimension de digestion indifférenciée de tout ce qui peut tomber sous sa juridiction qui a permis au culturel de légitimer, par l’application de son sceau, l’entreprise et les pratiques religieuses. Plus : le culturel annule la culture, il annule ce que nous avons appelé jusqu’à une époque récente la culture. Dans ce qui est nommé « culturel »,...
commentaire: franchement j'ai jamais vu ca?? jamais! un professeur qui fait tant de répétition j'en ai la tête qui tourne j'ai failli vomir!? sérieux! il répéte dans un seul article! 52 fois! culture! et 35 fois! culturel(le)!, 23 fois! politique! et j'en passe d'autres !?... un prof de francais lui aurait certainement mis 0/20 trop de répétition.
L’interviewer demande à Redeker s’il a un message à délivrer à ses élèves, auxquels il ne peut plus continuer à enseigner : « Je voudrais leur demander, répond le philosophe, de bien prendre garde, toujours, à conserver et à défendre leur liberté de penser et de s’exprimer. Il leur faut être vigilants. » Un élève (élève de seconde seulement, il est vrai…), interrogé lui aussi par un journaliste de La Dépêche, défendit sa liberté de penser en ces termes : « C’est un lycée calme habituellement. Mais là, le prof a un peu abusé. Il y a été fort. » ...et d’ailleurs, la mère d’un élève faisait courageusement remarquer que « Robert Redeker avait peut-être eu tort d’impliquer le lycée… »)
On soutien quoi ????
Le droit à l’expression ? Ou le droit à l’insulte ?
Les soutiens de Robert Redeker :
Quelques opportunistes : le FN demande: " l'expulsion immédiate de tous ceux qui ne reconnaissent pas notre Constitution " (avec l'amalgame sous-jacent arabe = musulman = islamiste, amalgame que se garde bien de faire Redeker). Même chose pour le MPF.
Quelques intellectuels :
Marc Weitzmann, André Glucksmann, Claude Lanzmann, Bernard-Henri Lévy, Michel Taubmann,Guy Sorman, Alexandre Adler, Laure Adler, Elisabeth Badinter, Pascal Bruckner, Michel Deguy, Raphaël Draï, Roger-Pol Droit, Elisabeth de Fontenay, Alain Finkielkraut, François George...
un mec:Franchement Roro tu permet que j't'apelle Roro d'abord t'as pas à me permettre on est comme tu le dis si bien en démocratie blablabla, Roro je crois que t'as parlais, ou plutôt écris un peu trop vite en fait je sais trés bien que tu as quasi tout prémédité: "insulte sans somation!" t'aurais pu prévenir histoire que j'me bouche les oreilles et toi qu'est ce que tu en pense si j'insulter ton pére de nazi!...ca te plairais ?! (et pourtant..) mais un mal c'est parfois pas mal non? ca marche les ventes des livres? alors combien?? non? sans blague!? n'entront pas dans des discours bas comme du Redeker à mon avis cette expression marcherait grave! c'est bas comme du Redeker! non? Hé! Roro c'est pas un peu facile de traiter Mohamet de tueurs de juifs alors que dans t'as propre famille il y avait des nazis, tu caches une
haine contre une autre! n s p.
Maintenant il s'agit de savoir est ce qu'on à le droit de tout dire,d'insulter la femme de son voisin parcequ 'elle porte le string ou le voile, de dire d'autrui ce que l'on veut en élevant avec débilité la banniére de la libérté (mais pas du respect...)et de dire:il y a trop de noir en Françe ou oh! saparlipopette il y a trop de juif riche en Françe ou attention les arabes manges du coucous islamiste tu vois Roro il y a deux genre de personnes celui qui sait s'exprimé et celui qui ne sait pas s'exprimer et des fois il y a celui qui c'est un peu (mais là! il compte pas..). Va faire un peu de vélo réfléchi, la vie ca ne vaut pas le coup de rester cloitrer avec 2000 ou 3000 Euros par mois comme le Ben Laden! Franchement je pense pas qu'il y est une fatima... fatia?.. une fatwa je veux dire !? j'ai beaucoup regardait sur le net dans plusieurs langues les musulmans appel à la modération blablabla bla tu t'es enfermé tout seul et ton ennemi c'est toi !
VOICI d’où viennent les sources :journal le monde, l'express, Charlie Hebdo,le devoir, Le Point,Le Figaro,agoravox,wikipédia, M6 et des blogs islamophobes.
merci
Robert si tu pouvez t'éxcuser ca serait vraiment bien.
La rédaction du Figaro se désolidarise de Redeker et présente des excuses sur Al Jazeera. Pierre Rousselin estimera que cette publication a été « une erreur ». L'article est enlevé du site web du Figaro.
le président du MRAP a comparé Robert Redeker à Ben Laden.
Justin Vaïsse, auteur d'un livre sur l'islam en France, défend le principe de la liberté d'expression, tout en ajoutant que l'article de M. Redeker est motivé par un « agenda anti-islam » et que l'article est « stupide, politiquement irresponsable, intellectuellement inconsistent et par ailleurs d'une grande faiblesse »
Pierre Tevanian, professeur de philosophie, qualifie d'injures racistes et islamophobes les propos de Redeker. Reprenant les propos de Redeker, il s'interroge sur le fait de savoir si : « nos ministres, éditorialistes, syndicalistes et spécialistes de l’obscurantisme auraient exprimé avec autant de retenue leurs réserves, distances, désaccords ou antipathies face à un auteur qui expliquerait que « le judaïsme installe la paralysie de l’intelligence au plus intime de chaque juif », que « Jésus est un maître d’amour et Moïse est un maître de haine », ou encore que « la haine et la violence habitent le livre dans lequel tout juif est éduqué, la Torah ». enfin si, « en pareil cas, ils auraient aussi unanimement et solennellement conclu à la primauté et au caractère intouchable ou indivisible de la liberté d’expression. »
Alain Gresh: Dans Le Figaro du 19 septembre, Robert Redeker signe une tribune intitulée, « Face aux intimidations islamistes, que doit faire le monde libre ? ». Ce texte suinte la haine et l’islamophobie, mais ce qui est particulièrement inacceptable c’est la tentative d’enrôler le grand orientaliste français Maxime Rodinson sous sa bannière. Utilisant des bouts de citations tirées de l’article écrit par Rodinson dans l’Encyclopédie Universalis sur Mahomet, Redeker prétend réusmer ainsi la vision développée par Rodinson...Quiconque connaît un peu l’oeuvre de Rodinson, sait à quel point ce résumé ne reflète absolument pas sa pensée.
un « collègue »: Si Robert Redeker n’a pas sa place à l’école publique, il déshonore aussi, plus spécifiquement, la corporation des professeurs de philosophie. Notre discipline est en effet censée former nos élèves à la réflexion, à la rigueur conceptuelle, au refus des généralités, des amalgames et des préjugés. Loin, très loin du « doute hyperbolique » de Descartes, de la passion nietzschéenne pour les « nuances », du questionnement et du « Je sais que je ne sais pas » de Socrate, Robert Redeker se dispense de toute interrogation, de tout doute et de toute nuance, et véhicule sans le moindre complexe les pires stéréotypes. Doublement ignorant,...
Pierre Tévanian: Robert Redeker « déshonore (…) la corporation des professeurs de philosophie »...
Danielle Bleitrach
Redeker est entré dans une dérive et Dieu sait où cela le menera...